La foire aux questions de nos appels à textes/illustrations
Voici la Foire Aux Questions que nous vous conseillons de lire après avoir lu les recommandations et avant de nous envoyer vos textes. Vous y trouverez les réponses aux questions les plus récurrentes que nous recevons par courriel. Sachez que ne nous répondrons à aucun des courriels reçus si la ou les questions se trouvent dans la FAQ.
Voici ce que nous devons recevoir pour chaque envoi :
• un fichier dans lequel il y a entre un et jusqu'à cinq textes par catégorie (un fichier pour les poèmes, un fichier pour les nouvelles, etc.) en format word ou pdf ou autre format de fichier compatible avec Word ;
• un fichier avec votre biographie ;
• une photographie en haute résolution.
Donc au minimum trois fichiers à intégrer dans le formulaire.
S'il n'y a pas le ficher avec votre texte, la photographie et la biographie... eh bien pas de réponse.
Pour vos fichiers, vous avez le choix entre le format PDF ou Word (.doc, .docx, etc.) ou tous autres formats qui soient compatibles avec le format Word. Vérifiez, s'il vous plaît, avant de nous envoyer vos textes.
Si nous ne réussissons pas à ouvrir vos fichiers, nous les supprimerons et nous ne donnerons pas suite à votre courriel.
Absolument pas. Vos textes sont lus puis s'ils sont sélectionnés, nous les intégrons dans la mise en page de notre revue où nous avons notre propre charte graphique. Ce qui compte, c'est le nombre de signes de la nouvelles (minimum 4 000 et max 19 000, espaces et ponctuation comprise) et le nombre de vers pour les poèmes.
Dans la mise en page et le format actuel de la revue, il n’y a pas d’illustration pour la poésie. Pour les nouvelles, nous sélectionnons nous-même les photos. Aussi, il est inutile de nous en envoyer.
Oui, les textes que nous publions doivent être inédits, c'est à dire jamais publiés chez un éditeur ou à compte d'auteur (autoédition), ni dans une revue numérique ou papier ou sur un blog hormis le vôtre ou sur vos comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Si vous êtes un compulsif de l'envoi de textes pour être publié à tout prix, quelle que soit la revue ou le support numérique, et que vous n'êtes pas patient pour avoir une réponse après les dates limites d'envoi par numéro, alors évitez de nous envoyer vos textes... nous gagnerons du temps.
Nous estimons que retrouver le même texte dans plusieurs revues c'est un peu se moquer du lecteur qui les achète. Notre ligne éditoriale est de découvrir de nouveaux auteurs ou pas d'ailleurs mais surtout de lire des textes qui n'ont pas encore été publiés. Nous ne forçons personne à nous envoyer des textes.
Toute publication de nouvelles, poèmes, photographies ou encore illustrations, dans une rubrique non gérée par un membre de l'équipe, doit être accompagnée d'une biographie et d'une photographie.
La biographie permet de mieux vous connaître sans pour autant assurer la promotion de vos sites internet et ou réseaux sociaux. En général, nous supprimons cette partie. Aussi, pas besoin non plus d'écrire un roman, juste un texte entre six et sept lignes pour vous présenter et pour décrire le lien que vous entretenez avec l'art et la culture.
En ce qui concerne la photographie, cela peut-être un portrait stylisé ou une photo de vous enfant, dans tous les cas il faut qu'on puisse vous identifier.
Vous n'êtes pas d'accord et vous ne souhaitez pas envoyer votre bio et votre photo car vous voulez restez discret ? Personne ne doit savoir que vous écrivez et que vous êtes publié ? Eh bien soit ! Alors, ne nous envoyez rien. Ainsi, nous gagnerons tous du temps.
Non, vous ne serez pas rémunéré. D'ailleurs, la plupart des revues ne rémunèrent pas leurs auteurs. Ce n'est pas que nous le voulons pas mais la santé financière de la revue est fragile et pour rappel, nous sommes publiés qu'à 300 exemplaires.
Il ne sera pas lu et le formulaire sera supprimé. Donc pas de réponse.
Nous vous répondrons dans les quinze jours après la date limite d'envoi du thème correspondant à votre texte ou illustration, que la réponse soit positive ou négative. Toutefois, n'attendez pas le dernier moment pour nous envoyer vos textes.
Nous n'allons pas vous cacher que les réponses envoyées sont des réponses types. Malheureusement, nous n'avons pas le temps de répondre à tous les auteurs qui nous envoient des textes avec un message personnalisé. Nous n'avons pas les ressources humaines nécessaires pour cela. De plus, le texte envoyé doit être publiable. Notre mission n'est pas d'apporter des « conseils » ou « suggestions » sur ledit texte. Mais au moins, nous vous répondrons.
Nous vous envoyons une réponse positive et un contrat type de diffusion qui nous permet de l'intégrer dans la revue L'Éponge.
Vous ne cédez pas vos droits d’auteur juste le droit de diffusion pour notre revue à 300 exemplaires. Ainsi, nous pouvons vendre le numéro dans lequel vous serez publié même si vous trouvez plus tard un éditeur avec lequel vous cédez vos droits. C’est une sécurité pour nous pour ne pas avoir la mauvaise surprise, qu'un jour, un éditeur nous interdise la diffusion de votre texte dans L’Éponge car publié chez lui par la suite. Sachez que si le droit d’exploitation (de représentation et de reproduction) relève d’une relation contractuelle, le droit moral lui est imprescriptible, perpétuel et inaliénable. Votre texte est le vôtre pas le nôtre.
Oui sans aucun problème. Vous nous signez que le droit d’exploitation (de représentation et de reproduction) de votre texte pour L’Éponge.
L’envoi d’un exemplaire gratuit de la revue, une fois celle-ci parue, n'est pas possible. La participation à L’Éponge est gratuite et la revue est imprimée à 300 exemplaires. Il n’y a aucune obligation d’achat mais nous ne pouvons pas nous permettre d’envoyer des numéros gratuitement, en version papier ou en version numérique.
Vous comprendrez certainement que diriger une revue engendre des frais et une charge de travail importante. La revue est financée par Aurélie Gauthier et Jean-Michel Léglise et non pas par des milliardaires philanthropes. De plus, il n'y a pas de pub dans la revue ni sur son site Internet.
Pour conclure, les auteurs bénéficient d'un réseau de distribution, celui de L’Éponge. Mais aussi de lecteurs au numéro et des abonnées. Pour comparatif, une anthologie de poésie ou de nouvelles est imprimée en moyenne par un éditeur à 150 voire 200 exemplaires.
Pour permettre la diversité littéraire et laisser la place aux nouveaux auteurs, celles et ceux qui ont été publiés dans la revue L'Éponge ne peuvent reproposer leur production artistique qu'à partir du quatrième numéro publié. Par exemple, l'auteur X est publié dans le numéro 7, il pourra envoyer de nouveaux textes seulement à partir du numéro 12.
Effectivement, mais voyez-vous, c'est le privilège des deux cofondateurs de la revue. Ils financent l'intégralité de la structure, gèrent et diffusent L'Éponge. Sans eux, L'Éponge n'existerait pas. Alors, une publication de temps en temps de leur travail n'est pas cher payé.
Si vous ne trouvez pas de réponses à vos questions dans la Foire Aux Questions, cliquez ici pour poser votre question.