Publié : 5 septembre 2023
Mise à jour : 10 mars 2024 à 21h15
Limitée dans sa version papier, L’Éponge se lance sur le web avec sa version 2.0. Les deux cofondateurs, Aurélie Gauthier et Jean-Michel Léglise, partagent leur enthousiasme avec vous pour cette nouvelle aventure.
La période estivale est souvent synonyme de repos, de détente et de vacances en famille ou entre amis avec les pieds en éventail sur une plage à l’ombre d’un palmier en sirotant un cocktail. Mais quelle image d’Epinal nous vous offrons là. Cela ressemble davantage à un cliché quelque peu caricatural de l’idée qu’on se fait des congés payés. D’ailleurs, l’équipe de L’Éponge a travaillé d’arrache-pied durant cinq semaines — le mois d’août complet — au nouveau site Internet de la revue. Aussi, les vacances, il n’y en pas eues.
Un média, quel qu’il soit, ne peut se passer du numérique. C’est un fait. Les smartphones et les tablettes permettent de surfer sur Internet pour s’informer, se divertir, communiquer et cela depuis une quinzaine d’années en dehors de notre habitat. Il suffit de regarder dans les transports en commun ou dans la rue comment nous nous comportons. À une autre époque, nous fumions pour nous donner de la prestance, maintenant on scrolle sur l’écran de son téléphone.
Vers L’Éponge 2.0 ?
Aussi, nous avons décidé de créer une extension de la version papier L’Éponge (vendue tous les trimestres au prix de 5,00 euros) avec un site Internet. Pour des raisons de pagination limitée (coût du papier et de format) et de périodicité, l’équipe se retrouve dans l’impossibilité de publier tous les sujets qu’on lui propose ou qu’elle-même souhaiterait traiter. Si l’ADN de la revue papier demeure et demeura toujours la découverte d’auteurs de poèmes et de nouvelles, sa version Internet suivra davantage l’actualité artistique et sociétale en y incluant le multimédia.
Ainsi, le lecteur ne trouvera pas de poèmes et de nouvelles sur le site de L’Éponge car son équipe est adepte de la littérature en version papier. En effet, elle estime que ce mode de lecture permet de prendre son temps pour savourer les textes littéraires. Nous sommes donc fiers de vous présenter L’Éponge 2.0 avec déjà quelques articles en ligne. D’une part, découvrez un dialogue atypique entre Denis Lavant et Philippe Bouret sur ce qu’est la poésie. D’autre part, une chronique d’un romancier poète français vivant à Atlanta (USA) qui rédige son quotidien d’une manière brute et poétique à la fois. Enfin, la librairie À Livr’Ouvert partage ses coups de cœurs littéraires.
Alors que nous écrivons cet édito au dernier moment (5 septembre 2023 à 19 h), j’espère que vous serez indulgents avec nous. Bienveillant en quelque sorte. En cinq semaines, nous avons mis en place le site Internet, trouver des chroniqueurs qui ont bien voulu relever le défi (Philippe, Magalie, Sébastien) avec nous. Alors certes, il doit y avoir quelques bugs, un peu de lenteur ici et là sur le site et peu d’articles…. Mais nous préférons prendre notre temps pour regarder grandir notre revue car il ne faut jamais se précipiter vers son avenir. Rien ne sert de courir, il suffit d’avancer à son rythme.
De toute façon, L’Éponge est maintenant parmi vous avec sa version papier et sa version web et tout cela grâce à votre soutien et à vos retours. Nous ne sommes qu’au début d’une belle aventure. Et cette aventure, nous vous la devons et nous vous en remercions. Bonne lecture et n’oubliez pas de garder dans vos favoris le site de L’Éponge : www.leponge.eu
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